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La Marcophilie
Si le timbre-poste proprement dit n'existe que depuis le 1 janvier 1849, les marques postales (griffes et cachets divers) remontent à deux siècles plus tôt.
La lettre, à ses débuts, ne ressemblait en rien à nos correspondances actuelles : pas d'enveloppe, la lettre est généralement pliée en quatre et fermée très souvent par un cachet de cire auquel on ajoute, au début un lacet.
Le nom du bureau de poste d'origine est inscrit au recto de la lettre, de la main du facteur.
En 1695 apparaît la première marque au tampon. C'est en 1676 qu'on trouve le premier tarif de taxes valable pour toute la France.
Il n'y avait qu'un nombre très réduit de bureau pour la France entière : 770 en 1703 et 1323 en 1791.
 

Il y a trois grandes catégories de marques postales :
les marques de port dû, cette marque est la plus habituelle. Le port de la lettre était payé par le destinataire : la somme à percevoir est indiqué sur le recto de la lettre par le bureau expéditeur et cette somme est variable selon la distance qu’aura la lettre à parcourir. Les premières marques du port dû sont manuscrites. C'est l'indication du bureau de départ mise de la main même du directeur; puis les marques sont apposées à l'aide tampon.
Ces marques au tampon furent rendues obligatoires par une circulaire du 3 mars 1749.
Tout se borne au simple nom du bureau expéditeur. Les numéros n'apparaissent qu’avec les départements c'est-à-dire sous la Révolution.
Les marques de port payé sont beaucoup plus rares. Ce sont en particulier les lettres écrites aux magistrats, curés, hommes de loi.
Les marques de déboursé son plus rares encore. Le terme de déboursé signifie que le distributeur n'a trouvé le destinataire de la lettre et qu’il n'a donc pu percevoir la taxe due. Les cachets sont, habituellement, encrés en noir.

[Document-Collection privée Jacques Clémens]

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